@Jmennuie me signale un brevet d'AT&T concernant des emails "autodestructibles" qui pourraient repiquer mon concept. Déjà, c'est un brevet logiciel (donc invalide en Europe), donc je m'en cogne totalement. Ensuite, leur brevet date de novembre 2012, alors que j'avais déjà implémenté ça en avril 2012. Prior work--> brevet non avenu.
Et de toute manière, je n'ai pas inventé le concept: Je pense qu'en Googlant on doit pouvoir en trouver bien des exemples avant.
Mais ce que la plupart des gens ignorent, c'est que cette fonction d'auto-destruction n'a jamais eu pour but d'empêcher la copie du message. Non, vouloir rendre des bits non copiables, c'est comme vouloir faire de l'eau non-mouillée. C'est impossible.
Non, cette fonction d'auto-destruction est surtout utile pour éviter de laisser traîner des choses par inadvertance. Une sorte de technique qui permet le fameux "droit à l'oubli".
(Source:
https://twitter.com/Jmennuie/status/353814445400670208)