La CNIL épingle le fichier d'empreintes digitales du ministère de l'intérieur :
- conservation de données non prévues au départ.
- conservation trop longue.
- conservation même des personnes acquittées/relaxées/non-lieu/sans suite.
- mauvaise sécurisation du fichier.
- absence d'information des personnes concernées.
Tout faux, quoi.