Les internautes ne sont pas des pirates
Jeudi 04 mai 2006
Du moins, pas tous !
L'artiste Canadienne Jane Siberry a décidé de faire un test:
Elle a proposé ses chansons en téléchargement sur son site, au bon vouloir des internautes:
Ceux-ci peuvent télécharger la musique gratuitement, payer plus tard, ou payer immédiatement la somme qu'ils veulent.
Surprise !
La majorité des internautes ont préféré payer.
Le prix moyen par chanson a été de 1,14 dollars, ce qui est supérieur au prix d'une musique sur iTunes !
Les industriels de la culture devraient sérieusement y réfléchir: ça ne sert à rien de traiter ses clients commes de criminels a priori. Les internautes ne sont pas forcément tous des pirates.
Quand la musique est bonne, il y a des acheteurs, P2P ou pas !
A noter qu'il existe des maisons de disque sur internet comme MagnaTunes qui permettent également aux internautes d'écouter l'intrégralité des albums en ligne, et aussi d'acheter la musique au prix de leur choix.
Certaines de ces maisons de disque en ligne reversent jusqu'à 50% du prix de vente aux artistes.
A méditer quand on sait que les majors du disque reversent seulement 1 à 2% à leur artistes et les dépossèdent de leurs droits d'auteur.
Il y a bien un marché pour la musique. Les artistes n'ont pas à craindre le Peer-to-peer.
Il faudrait juste que les industriels de la culture embrassent enfin le 21ième siècle.
Source: http://techdirt.com/articles/20060503/126211.shtml
L'artiste Canadienne Jane Siberry a décidé de faire un test:
Elle a proposé ses chansons en téléchargement sur son site, au bon vouloir des internautes:
Ceux-ci peuvent télécharger la musique gratuitement, payer plus tard, ou payer immédiatement la somme qu'ils veulent.
Surprise !
La majorité des internautes ont préféré payer.
Le prix moyen par chanson a été de 1,14 dollars, ce qui est supérieur au prix d'une musique sur iTunes !
Les industriels de la culture devraient sérieusement y réfléchir: ça ne sert à rien de traiter ses clients commes de criminels a priori. Les internautes ne sont pas forcément tous des pirates.
Quand la musique est bonne, il y a des acheteurs, P2P ou pas !
A noter qu'il existe des maisons de disque sur internet comme MagnaTunes qui permettent également aux internautes d'écouter l'intrégralité des albums en ligne, et aussi d'acheter la musique au prix de leur choix.
Certaines de ces maisons de disque en ligne reversent jusqu'à 50% du prix de vente aux artistes.
A méditer quand on sait que les majors du disque reversent seulement 1 à 2% à leur artistes et les dépossèdent de leurs droits d'auteur.
Il y a bien un marché pour la musique. Les artistes n'ont pas à craindre le Peer-to-peer.
Il faudrait juste que les industriels de la culture embrassent enfin le 21ième siècle.
Source: http://techdirt.com/articles/20060503/126211.shtml
OpenOffice lance la campagne "Get legal !"
Jeudi 04 mai 2006
Offensives du BSA, vérifications automatiques de Microsoft sur la légalité des copies de Windows et Office, durcissement des lois contre le piratage, développement du marché des logiciels de gestion de parc informatique, risques de virus et chevaux de Troie...
L'utilisation de produits Microsoft piratés semble de plus en plus risquée.
Jouer sur la peur des risques du piratage pour promouvoir l'opensource ?
Beaucoup y ont pensé, mais peu s'y sont risqués.
C'est OpenOffice qui lance l'offensive: Ils lancent une campagne "Get legal !".
Leur argument: Abandonnez vos suites Microsoft Office piratées et prenez OpenOffice: vous éliminerez les risques légaux.
Les critiques diront qu'utiliser les techniques de l'ennemi (tel que le FUD) ne colle pas trop à l'éthique opensource, mais dans la guerre des logiciels, tous les moyens semblent bons.
D'ailleurs les revendeurs ont reçu un message de Microsoft: "Nous traquerons le moindre revendeur de copies pirates de nos produits" Le package reçu par la poste est assez explicite: http://www.theinquirer.net/?article=31436
Source: http://why.openoffice.org/
L'utilisation de produits Microsoft piratés semble de plus en plus risquée.
Jouer sur la peur des risques du piratage pour promouvoir l'opensource ?
Beaucoup y ont pensé, mais peu s'y sont risqués.
C'est OpenOffice qui lance l'offensive: Ils lancent une campagne "Get legal !".
Leur argument: Abandonnez vos suites Microsoft Office piratées et prenez OpenOffice: vous éliminerez les risques légaux.
Les critiques diront qu'utiliser les techniques de l'ennemi (tel que le FUD) ne colle pas trop à l'éthique opensource, mais dans la guerre des logiciels, tous les moyens semblent bons.
D'ailleurs les revendeurs ont reçu un message de Microsoft: "Nous traquerons le moindre revendeur de copies pirates de nos produits" Le package reçu par la poste est assez explicite: http://www.theinquirer.net/?article=31436
Source: http://why.openoffice.org/
DADVSI: Mise à jour
Jeudi 04 mai 2006