Depuis la version SteamOS 3.7, il est possible de l’installer sur les machine AMD style Z1 (extreme ou non). La ROG Ally n’est pas “officiellement” supportée, mais cela s’installe, et le support officiel ne saurait tarder.
J’ai suivi ce guide succinct : SteamOS Recovery and Installation (si le guide ne s’ouvre pas, rouvrir le lien)
Il m’a fallu désactiver le secure boot, donc d’accéder au bios (éteindre la ROG Ally, l’allumer, puis maintenir bouton volume -).
Niveau matériel, un simple clé USB‑C suffit, pas besoin de clavier ou souris.
Est-ce compliqué à installer ? Ça dépend, on est dans le même domaine que de réinstaller un OS en bootant depuis une clé, ce n’est pas plus simple, ni plus compliqué.
SteamOS ne demandera pas de créer un compte et mot de passe (admin ou non), mais de vous connecter à votre compte Steam.
Une fois ceci fait, les touches n’étaient pas reconnues. Une mise à jour était disponible directement dans SteamOS, un reboot plus tard, ce problème était réglé. Ce qui m’a permis de voir que les mises à jour OTA fonctionnent parfaitement.
Et donc, quoi en penser ?
C’est bien simple, en 1h d’utilisation, j’ai déjà compris que je ne reviendrai pas sous Windows. Tout est simple, rapide, sans bug. L’interface est adaptée à l’écran. C’est un sacré plaisir.
Pour les 4 premiers inconvénients, ils devraient être réglés avec des futures mises à jour, le support de la ROG Ally est annoncé officiellement.
Pour les 2 derniers, c’est inhérent à Linux. On ne peut pas avoir ces avantages, sans ces inconvénients. La liste des jeux compatibles augmentent régulièrement. Je préfère malgré tout de devoir me passer d’un jeu en particulier, et de ne plus avoir Windows. C’était vraiment usine à gaz, bugué (genre wifi non reconnu au démarrage, il faut démarrer une nouvelle fois…), Armory Crate me donnait envie de me suicider. La machine est plus silencieuse, plus fluide, c’est le jour et la nuit.
J’ai complètement viré Windows, et je ne reviendrai pas dessus. Un plaisir comme je ne pensais pas connaître.
Et non, SteamOS *N’EST PAS* la même chose que Steam en mode Big Picture, j’ai longtemps cru cela à tort.
La question mérite maintenant d’être posée.
Je joue majoritairement en streaming local avec Moonlight. Avoir un écran 16/9è comme la ROG Ally est clairement un plus, je n’ai pas besoin de modifier quoi que ce soit pour jouer directement. L’écran 16/10è du Steam Deck, c’est juste chiant.
La ROG Ally a aussi un écran 120Hz, et franchement c’est confortable.
La Steam Deck OLED a un écran OLED, mais est-ce réellement pertinent sur cette taille d’écran ? Pas forcément. L’IPS de la ROG est d’excellente facture.
La Steam Deck a des trackpad, et ça c’est cool, pour jouer à des jeux de gestion chill par exemple.
En fait, le top, serait une Steam Deck 1080p et 120Hz. En attendant, j’ai une préférence pour la ROG Ally.
Je n’ai pas une carte graphique optimisée pour la 4K. C’est beaucoup trop cher (environ 1500€ la carte graphique, juste non, question de principe pour moi), ça chauffe une horreur, c’est donc également bruyant.
Je veux un ordinateur *silencieux*, qui ne monte jamais à plus de 55°C en pleine charge. C’est l’assurance d’une excellente stabilité, de peu de chaleur à dissiper, et donc de silence. Je ne joue quasiment jamais au casque, mais avec des enceintes au volume faible (très rarement au dessus de 20% du volume max de ma carte son). Je n’ai pas envie d’entendre mon ordinateur ronronner, je ne tolère que les chats pour cela.
Aujourd’hui, aucune carte graphique ne peut répondre à ces exigences en 4K. En 1440p oui, cela a donc été ma résolution favorite depuis bientôt 10 ans. Une carte graphique entre 200 et 250w ne fera pas de bruit et n’exigera pas une forte ventilation, du genre 4070 Super. Niveau CPU, un processeur optimisé gaming comme les X3D de AMD sont parfaits aussi.
J’ai eu une envie de renouveler mon écran, lassé du IPS, de ses angles de vision étroits sans dénaturer les couleurs, de ses noirs pas noirs (et accessoirement mon IPS commençait à avoir du burn-in). Cela fait un moment que les écrans OLED me font de l’oeil, la techno devient suffisamment mature sur PC, avec déjà plusieurs générations de technologie derrière elle, je me suis dit, allez saute le pas, prends du OLED. Un écran se garde 10 ans, prends un truc correct. Sauf que l’OLED, c’est cher. Autour de 800€. Et pour à peine plus, on monte en 4K. Le 4K est clairement l’avenir, attends-je encore 10 ans pour passer le pas ?
J’ai donc changé mon écran IPS 165Hz 1440p ViewSonic pour un 4K OLED 240Hz MSI. Je ne traiterai pas ici des différentes techno OLED, plein le feront mieux que moi. J’ai retenu un écran brillant (j’ai la chance d’avoir une pièce gaming toujours sombre chez moi), du QD-OLED et non (W)OLED. Précisément le modèle MAG 271QPX de chez MSI. Un écran équivalent chez Asus serait le PG32UCDM. Deux dalles QD-OLED similaires de chez Samsung.
Et donc, est-ce qu’il est possible de jouer en 4K avec une config adaptée au 1440p ? La réponse courte est oui, mais il faut bien savoir où on met les pieds.
Déjà, il FAUT du nVidia. La techno DLSS qui permet d’upscale l’image avec IA, c’est juste une dinguerie. Pensez à bien utiliser DLSS Swapper pour remplacer le DLSS dans chaque jeu par la dernière version.
Dans un jeu, on a le choix entre DLSS qualité, équilibré, performance. Globalement :
DLSS Qualité → 66,6% → 1707×960
DLSS Équilibré → 58% → 1485×835
DLSS Performance → 50% → 1280×720 (720p)
DLSS Ultra Performance → 33,3% → 853×480
DLSS Qualité → 66,6% → 2560×1440 (1440p)
DLSS Équilibré → 58% → 2227×1253
DLSS Performance → 50% → 1920×1080 (1080p)
DLSS Ultra Performance → 33,3% → 1280×720 (720p)
Et on remarque que le DLSS qualité du 1440p a environ la même résolution que le DLSS performance en 2160p.
Autrement dit, mettre un jeu en 1440p DLSS qualité, tournera globalement aussi bien qu’un jeu en 2160p DLSS performance. Et la question qui tue : que vaut l’image en DLSS performance en 4K ? C’est simple, l’image est impeccable. La techno IA de nVidia est juste folle. C’est juste impressionnant. À condition encore une fois d’utiliser un DLSS récent et non de garder celui fourni dans le jeu (encore que). J’imagine que le fait que le 2160p soit exactement 4x le nombre de pixels du 1080p doit jouer dans la qualité de l’upscale. Pour faire court, il n’y a quasiment aucune différence entre du 4K natif et du 4K upscalé du 1080p.
Est-ce que le jeu est plus beau en 1440p DLSS qualité, ou 2160p DLSS performance ? Pour un framerate équivalent ? L’avantage est sans aucune hésitation pour le 2160p.
Est-ce le jour et la nuit entre le 1440p et le 2160p ? Non. Il y a du mieux, c’est évident, mais ce n’est pas le gap du siècle. En 32 pouces 2160p, la densité de pixels est plus importante qu’en 1440p 27 pouces, donc les pixels sont moins visibles, l’aliasing moins prononcé. Mais les pixels sont encore visibles.
Activer le frame gen (exclusif aux RTX 4000 et 5000), vous doublez (4000) ou plus encore (5000) le framerate “gratuitement” sans latence perceptible. Ceux qui disent qu’ils ont une latence visible ne savent pas configurer le frame gen. Oui, une image sur 2 ou plus est générée par IA. Mais même un FPS à la souris n’a pas de latence perceptible. Je peux vous l’affirmer, je le sentirai très vite. Je ferai peut être un article futur sur comment bien configurer le framegen.
Donc tout ça est parfait, mais quid d’un jeu sans DLSS ?
Plusieurs possibilités.
Soit votre jeu est plutôt ancien, et il tournera correctement en 4K native. Il y a 125% de pixels supplémentaires entre le 1440p et le 2160p. Pour un framerate donné, vous regardez l’utilisation GPU. Si votre GPU ne dépasse pas 40%, en gros la 4K sera impeccable, le GPU montera alors autour de 90% tout en maintenant le même framerate. Attention il s’agit bien d’un ordre d’idée.
Soit le jeu ne tourne pas correctement et il manque des performances. Dans ce cas là, j’ai une solution, ou plutôt un contournement. L’écran d’Asus, mais sûrement d’autres j’imagine, ou au pire encore par les drivers nVidia, on peut réduire l’écran à du 27 pouces pour retrouver une résolution de 1440p. Cela affichera des bandes noires autour, mais au moins l’image ne sera pas étirée. Juste plus petite que l’écran 32 pouces de base. Mais est-ce un réel problème ? Je ne pense pas, car sans acheter un écran 4K, c’est ce que j’aurais obtenu de toute manière, du 1440p en 27 pouces. Et on garde la qualité de l’écran 4K : OLED et cie. On peut aussi jouer avec le réglage VSR, pour upscale toute l’image 1440p en 2160p, encore chez Nvidia. Pas aussi propre que le DLSS cependant, mais ça peut dépanner. On peut aussi réduire la qualité des graphismes : un jeu ultra 1440p sera moins beau qu’un jeu en moyen et 4K.
Pour conclure, est-il possible de jouer en 4K avec une config 2K ? oui clairement, à condition d’avoir du nVidia, d’être un peu geek, et s’intéresser aux différents paramètres. Est-ce que je regrette l’écran 4K ? Non ! Est-ce que l’OLED est le jour et la nuit avec l’IPS ? Non, c’est du luxe clairement, même si c’est compliqué de revenir à l’IPS une fois gouté à l’OLED. Je redécouvre malgré tout mon PC, en changeant simplement l’écran. L’écran est un régal pour les yeux, ne provoque pas de fatigue particulière. Je ne pourrais plus revenir en arrière. En tout cas jamais tout cela ne serait possible chez AMD…
Je reste bien évidemment ouvert à toute remarque ou question dans les commentaires. Mais si vous jouez sur PC, au prochain renouvellement de votre écran, n’hésitez pas très longtemps. C’est fabuleux.
Faut-il obligatoirement mettre une bannière cookie pénible pour vos visiteurs, sur votre site/blog personnel, du genre de celui-ci ?
On fait le point.
Selon le RGPD et la CNIL, tous les cookies qui ne sont pas strictement nécessaires au fonctionnement du site doivent faire l’objet d’un consentement préalable.
La question est donc de savoir ce qui est réellement nécessaire.
Google Analytics ou tout système de stats/mesure d’audience/tracking
Vidéos YouTube intégrées en youtube.com
Publicités
Boutons de partage, ou pixels de réseaux sociaux, style Facebook, Twitter/X, TikTok…
Carte Google Maps intégrée
Cookies pour personnaliser le contenu ou la pub
Globalement, n’importe quel appel sur un serveur distant
(liste non exhaustive)
Absence de publicité
N’utilise pas Google Analytics ou autre outil de mesure d’audience avec cookies
N’intègre pas de vidéos YouTube “classiques”
Ne partage pas de contenus via des boutons sociaux (Facebook, X, etc.)
N’active pas de services externes au chargement (typiquement polices google font…)
Et qu’il n’utilise que des cookies techniques essentiels, comme :
Un cookie de session pour garder une connexion ouverte
Un cookie optionnel de “se souvenir de moi” dans un formulaire de commentaire (si non activé par défaut)
Attention : les stats de votre serveur web, style AWStats, ne nécessitent pas de bannière, car ces outils se basent sur les logs du serveur, et non les visites en direct avec javascript et cookie. De plus, tout reste sur le serveur et rien n’est transmis à un tiers.
Donc ce qu’il faut comprendre, c’est qu’un petit site comme le mien, n’affichant pas de publicités, n’ayant aucun système de mesure d’audience, peut se passer de la bannière de cookies.
Cela fait appel à un serveur tiers, donc si vous gardez les polices Google Font, la bannière est obligatoire.
Une solution est donc de récupérer ces polices, les mettre en local sur votre site, et faire les appels en “dur” localement.
Une extension WordPress pour le faire automatiquement peut être OMGF ou Disable and Remove Google Fonts.
Pareil, même sans activer l’autoplay, un serveur tiers est contacté dès le chargement de la page. Une solution simple consiste à remplacer le domaine youtube.com par youtube-nocookie.com.
Une extension WordPress pour le faire automatiquement peut être WP YouTube Lyte. Attention, il faudra une clé API (gratuite), et donc un compte Google pour la créer.
Pour éviter que vos visiteurs ne retapent leur mail, pseudo etc, une case peut être proposée pour enregistrer ces informations. La case doit être décochée par défaut. Cocher la case agit comme un consentement, et donc en quelque sorte comme un mini bandeau acceptation des cookies. Vous êtes donc dans les règles si vous n’enregistrez rien par défaut, et proposez de le faire en cochant une case.
Avec tout cela, vous êtes dans les règles, sans faire chier vos visiteurs ! J’espère n’avoir oublié aucun détail.
Source : mart‑e — Activer une liseuse Kobo sans compte
Merci pour toutes ces infos, elles vont me servir !
Honnêtement du point de vue gaming je ne vois même pas l’intérêt de dépasser 60 Hz
Beaucoup de méconnaissance dans le post que je vous invite tout d’abord à lire.
J’ai passé le cap de l’écran 120Hz en 2008, cela fait donc déjà 17 ans. À *aucun* moment je n’ai regretté ce choix, et pu revenir en arrière, à du 60Hz. Dire qu’il n’y a pas d’intérêt, montre tout simplement que cela n’a pas été testé. Aujourd’hui je suis en 240Hz, et pareil, la différence est fulgurante.
Après oui, c’est niche, la plupart des gens ne font déjà pas la différence entre 30 et 60fps, mais ce n’est pas parce qu’on n’y trouve pas d’intérêt, qu’il n’y a pas d’intérêt.
L’intérêt ça serait plutôt le rendu des couleurs, les contrastes, l’absence d’effet “ghost”
Les écrans Samsung OLED (QD) sont juste les meilleurs du monde, devant le (W)OLED de LG. Y’a juste pas mieux niveau couleurs et contrastes. Et alors parler d’effet “ghost” sur un écran 500Hz, heu.…
Donc oui, 500Hz pour jouer au dernier triple A, c’est inutile. Mais ces écrans se destinent aux joueurs uniquement compétitifs, style Valorant/Apex/CS etc. Ces jeux sont optimisés pour tourner justement à ces fréquences avec un matos récent. Et avoir une image qui s’actualise 500 fois par seconde au lieu de 60, c’est être 8 fois plus réactif, la différence est énorme. C’est exactement pour cette raison que les joueurs compétitifs ont mis tant de temps à lâcher leurs écrans CRT d’ailleurs.
Mes vidéos de gameplay avec du Paladins ne ressembleraient pas à ça si je jouais en 60fps !
Je me doute que l’utilisation décrite ci-après est extrêmement niche, mais elle peut servir.
J’ai un PC fixe de jeu, et souvent je stream en local avec Moonlight sur la ROG Ally. Je ne joue plus qu’exclusivement de cette manière sur la ROG Ally. La ROG Ally configurée en puissance minimale, et le PC de jeux envoyant du 1080p 120fps, full ultra, full ray tracing et cie.
Cependant, cette utilisation présente un gros désavantage, c’est que l’écran du PC doit rester allumer pour pouvoir streamer une image. Eteindre l’écran = stream d’un écran noir. C’est de la pure perte d’énergie, et d’usure d’écran inutile.
Une solution, et donc l’objet de cet article, est d’utiliser une fausse prise HDMI, un adaptateur sans sortie vidéo, mais faisant croire à Windows et la carte graphique qu’un écran est branché et allumé.
Il existe différents adaptateurs, pour différentes résolutions et framerate.
Il peut paraitre plus économique de prendre un adaptateur faisant le minimum, c’est à dire du 1080p. Je déconseille cette solution, car si vous jouez en 1440p ou plus, dès que vous éteindrez votre vrai écran, Windows basculera sur cette résolution 1080p, et vous devrez refaire à chaque fois les réglages vidéo dans vos jeux, etc. Il vaut mieux rajouter quelques euros, et prendre un adaptateur supportant votre résolution principale, et ainsi éviter des réglages rébarbatifs par la suite.
Le moins cher, supportant le 120Hz en 1080p, est ici. Attention : choisir un adaptateur 60Hz ne permettra pas de faire tourner le jeu au-dessus de 60Hz, et donc votre stream sera limité au 60Hz : un peu bête sur une machine qui peut afficher plus, comme la ROG Ally, ou le Steam Deck OLED.
Dans mon cas, j’aime bien pouvoir enregistrer mes vidéos de gameplay pour mes montages. Et tant qu’à faire, capturer en 4K et 120fps. C’est pourquoi j’ai choisi cet adapteur. Ainsi, je peux capturer localement des vidéos de gameplay en 4K 120fps, et en même temps envoyer en stream local avec Moonlight du 1080p 120fps, tout en ayant mon écran principal (et réel) éteint. Sans basculement de résolution. Le meilleur des mondes réuni.
À bon entendeur les gamers !
Il s’agit des dev de Outer Worlds (à ne pas confondre avec Outer Wilds) derrière le jeu. J’ai mis pour le moment le jeu en pause, AtomFall (voir plus bas) est passé par là, mais je le reprendrai.
Le jeu peut se jouer à la 1ère et 3e personne, avec basculement à la volée.
Le jeu est très verbeux, mais c’est aussi un vrai jeu d’aventure, avec du loot et des secrets partout, ainsi qu’un vrai RPG.
Il y a de nombreuses armes, avec des grandes catégories de gameplay : arc, épée, arme à feu…
J’apprécie dans le jeu que l’on peut tout jouer, en changeant facilement d’arme, sans blocage de classe. Le jeu me fait penser à Kingdom of Amalur par moment.
Attention par contre, il faut une config récente pour y jouer. Il s’agit, comme Indiana Jones, d’un jeu avec ray tracing quasi obligatoire, avec des options de confort récent : DLSS, frame gen…
Je pensais jouer à un jeu chill de gestion de ferme, je me suis retrouvé avec un JRPG avec une histoire de dingue, avec des grosses vibes Xenoblade et Nier Automata. J’en suis à 90h, j’arrive doucement au bout de l’histoire. Mais je prends toujours autant de plaisir sur le jeu. C’est un jeu qui fait du bien, qui est bienveillant, assez verbeux mais jamais trop long. C’est vraiment un jeu incroyable que j’ai adoré du début jusqu’à la fin.
Le jeu enchaîne plusieurs phases : vous vous réveillez à 6h00, vous gérez rapidement votre ferme jusqu’à 8h00 environ, puis vous choisissez votre objectif du jour : avancer vos quêtes (soit histoire, soit les quêtes de vos compagnons), soit vous avancez votre exploration. L’exploration est sous forme de donjons, avec des étages, des raccourcis à débloquer, etc. Vous êtes limité par l’heure qui défile, et il faut aller dormir avant minuit. On n’est cependant pas pressé par le temps, car certes les journées défilent, mais vous pouvez jouer autant de journées que vous voulez, rien ne peut se retrouver bloqué par le temps, absolument tout le contenu du jeu peut être fait même en étant particulièrement lent. C’est une bonne chose. Au bout de 30 jours, une saison défile, et il y a les quatre saisons classiques. Chaque saison influe sur l’aspect des décors, ainsi que les chemins possibles, et ce que vous pouvez planter.
Ce qui m’a particulièrement captivé, c’est l’histoire. J’ai été complètement aspiré par elle, elle est digne des plus grands JRPG, Xenoblade n’est vraiment pas loin. Le jeu est assez mal vendu par son éditeur, on croirait à un jeu de gestion de ferme classique, mais non, la gestion de la ferme c’est peut être 20 à 30% du jeu, pas plus. On peut même faire le jeu sans réellement s’investir dans cette partie. Le jeu est à la fois adapté à un enfant/ado qui découvrirait le genre JRPG, mais aussi aux vétérans qui veulent pousser toutes les mécaniques, et chercher le 100%.
Harvestella est vraiment un gros gros coup de coeur pour ma part. L’OST a d’ailleurs rejoint ma bibliothèque.
Il s’agit des dev derrière Sniper Elite. C’est un FPS plutôt sympathique, qui est étonnement bien optimisé, malgré l’absence de techno récente : pas de DLSS, pas de frame gen, etc. Cela fait plaisir de voir un jeu tourner aussi bien en 2025. Le jeu ne me laissera pas un souvenir impérissable, mais j’ai pris du plaisir, je suis allé jusqu’au bout. Le jeu est souvent comparé avec Stalker, mais non, Stalker est bien plus dur et exigeant, et il fait bien plus peur aussi.
La majeur partie du jeu va consister à explorer la map, qui est vierge au départ, pour trouver les routes, les accès, les raccourcis. C’est plutôt plaisant.
Le jeu n’a aucun élément RPG, malgré des petites compétences à débloquer. Mais pas d’XP, pas de niveaux, pas de barre de vie sur les ennemis… Ça fait plutôt du bien à vrai dire. Le jeu me fait penser à du Bioshock par moment, avec l’exploration d’un univers qui vous veut du mal, cette sensation de ne pas savoir si on est au bon endroit au bon moment, ou si l’on fait les choses correctement…
Bref, j’ai aimé !
720p et 1080p en h264 ; 1440p en av1.
Ce Nintendo Direct du 2 avril 2025 a mis le feu aux poudres avec l’annonce officielle de la Switch 2, mais les précommandes, qui débutent le 8 avril,
Source : 469,99 € et des règles ultra strictes : les précommandes Switch 2, c’est chaud !
Ha oui carrément, pour précommander la Switch 2 à 470€, il faut partager ses données d’utilisation de la Switch 1, être abonné au Nintendo Switch Online depuis 2 ans (!!), et accepter de recevoir le spam par mail de Nintendo.
Tout ça pour jouer à heu, Mario Kart ? et quelques jeux Game Cube ?
Mouais ça ne m’emballe pas des masses.
Quant à la question du prix, je le trouve plutôt OK vis à vis de l’écran 1080p 120Hz : une ROG Ally coûte plus cher. Mais ça fait cher pour la console pour les enfants, fragile. Cette Switch 2 devient doucement une console de salon version portable.
J’aimerais tellement une révision de la 3DS, avec une 2D hyper fine, comme on pouvait trouver sur les Castlevania de NDS. Une console qu’on pouvait trimballer sans housse de protection, grâce au format clapet. Je l’avais toujours dans la poche à l’époque, chose impossible avec la Switch, et encore moins avec la Switch 2 plus grande encore.
On va attendre de voir les jeux pour cette Switch 2, et surtout attendre la révision dans 2 ou 3 ans avec écran OLED.
Ha oui et c’est donc confirmé, il faudra bien payer pour avoir les jeux de Switch 1 en version “améliorée”. Les prix ne sont pas encore annoncés. Un peu du foutage de gueule car cela demande vraiment peu d’effort de la part de Nintendo. Et ces versions “améliorées” peuvent aussi évidemment être achetées en physique, histoire que le fan repasse à la caisse. Je n’aime pas trop ce genre de pratiques.
Moi je kiff toujours la première Switch (OLED !!), j’ai une montagne de jeux à faire, le plaisir. La Switch 2 attendra pour moi.
Dans certains cas, cliquer sur une suggestion peut impliquer un réseau d’affiliation tiers, qui pourrait installer des cookies
Source : Direct Match: Comment ça marche, vie privée et autre | Aide en ligne pour le navigateur Vivaldi
Ha ba bravo : je teste Vivaldi, et par défaut il active ce “direct match”. Vous tapez “amaz” dans la barre de recherche, il comprend que vous voulez aller sur Amazon, et hop la petite redirection avec lien affilié.
Multiplié par le nombre d’installations, et le nombre de sites reconnus de cette manière, ça doit faire un beau billet pour Vivaldi.
Heureusement, cela se désactive, mais c’est sacrément moche.
Entre ça et Brave qui remplace les pubs par les siennes, ils sont beaux, les navigateurs web en 2025.
Approchant désormais de la centaine d’heures de jeu sur Assassin’s Creed Shadows, il est temps de l’affirmer clairement : oui, il existe une vraie bonne manière de jouer à ce quatorzième épisode principal. On vous explique comment.
Source : Non, vous ne jouez pas à Assassin’s Creed Shadows comme il faut — Numerama
Cela fait bien longtemps que je le dis, mais Ubisoft est constamment critiqué par ses HUD invasifs, alors qu’à chaque fois il permet de jouer sans (ou de le paramétrer finement), et les jeux sont à chaque fois transcendés.
À une époque où les jeux deviennent de plus en plus faciles, cela fait du bien de devoir chercher un peu, expérimenter, réfléchir quoi.
Quand je joue à un Assassin’s Creed récent, je désactive au maximum le HUD, la vision d’aigle, le wallhack, les barres de vie/niveau des ennemis, je ne joue pas en difficile pour ne pas avoir des sacs à PV en face, j’active l’option qui one shoot à tous les coups avec une élimination discrète (même les boss), et là vous aurez une expérience toute autre (qui ressemble aux anciens AC d’ailleurs…). À mon sens ces réglages devraient être ceux par défaut, mais que voulez-vous… Aujourd’hui le joueur est tellement assisté que même aller voir les options d’un jeu c’est trop compliqué.
Et en plus, en enlevant plein de trucs à l’écran, on prend toute la mesure du moteur graphique, car les jeux sont souvent beaux.
Assassin’s Creed c’est un jeu d’infiltration, alors arriver quelque part, appuyer sur le bouton magique qui indique à 50m à la ronde et à travers les murs, coffres et ennemis, et vider un camp de manière mécanique sans réfléchir, puis aller à la prochaine icône et ainsi de suite pendant 70h, merci mais non.