via le thread cité dans le shaare précédent, je suis tombé (aïe) sur cet article du blog de Clémentine Beauvais, où elle fustige (bon, en vrai elle explique qu'elle a envie de leur refaire leur portrait à coup de pioche, mais pour faire littéraire on dit fustiger) les éditeurs qui spoilent les œuvres classiques en révélant à la page 43 ce qui va se passer à la page 529, par pur snobisme.
Très drôle et très vrai.
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