Donc voilà un pas de plus franchi en matière de censure. Autant je n'approuve pas du tout la tauromachie, autant on voit là les limites d'une plateforme d'hébergement qui va préférer supprimer plutôt que de risque de choquer. Et on ira - comme sur Facebook - jusqu'à la censure de l'art au nom du politiquement correcte.
Je refuse.
Rien qu'en publiant des vidéos d'un jeu (Urban Terror), je me suis fait censurer de deux plateformes d'hébergement vidéo: Vimeo et Kewego. Et pourtant c'était loin d'être sanglant.