L’écume des jours Le monde à l’envers de L’Écume des jours et la subversion dans le roman
Thursday 28 January 2021 à 09:30> L’Écume des jours n’est donc pas qu’une poétique histoire d’amour, loin de là. C’est l’occasion pour l’auteur de se livrer à une subtile mais dévastatrice critique de la société de son temps. Deux piliers de la morale de 1946, le travail et l’Église, y sont critiqués. Quant à la famille, autre pilier fondamental, elle n’apparaît qu’illustrée par le mariage, que Boris Vian définit comme la porte d’entrée vers le malheur. Si une lecture superficielle du roman peut laisser penser qu’il s’agit d’une douce bluette, il est évident que L’Écume des jours est un ouvrage autrement subversif.
Diantre. Il me faut le relire.
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Diantre. Il me faut le relire.
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